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Que signifie P . I . B . W . ?
Paranormales Investigations
Brabant Wallon.
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Que signifie P . I . B . W . ?
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Interview entre le G.R.P. Wallonie et la capitale.be Brabant Wallon Une journaliste de la capitale.be Brabant Wallon voulait en savoir plus concernant la 11 ème enquête qui aura lieu sûrement en décembre ou en janvier à mon domicile. Les questions étaient basées principalement sur la façon dont l'enquête allait se dérouler, avec combien d'enquêteurs ?, comment ?, que faisons-nous si il y a une entité ?, etc .. L'interview téléphonique a duré 1/2 heure et tout s'est bien passé.
: Cliquez ici pour lire l'article entier
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| Le sarcophage d'arles sur tech | |
| Auteur | Message |
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Admin
Fondateur et Enquêteur
| Sujet: Le sarcophage d'arles sur tech Mer 15 Juil - 2:00:34 | |
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| | | Invité
Invité
| Sujet: le sarcophage d'arles Mer 15 Juil - 14:53:13 | |
| tres impressionnant,mais est ce qu'avant il y a eu un mort dedans ,imaginez que l'on transporte ce sarcophage dans un pays ou l'eau manque, ça serait super, mais peut_etre que ça ne marcherais plus. :bren: |
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Invité
| Sujet: Re: Le sarcophage d'arles sur tech Mer 15 Juil - 15:08:25 | |
| Bonjour, Une vidéo bien mystérieuse, moi aussi je me pose la question comme comte, y avait il quelqu'un dedans avant, si oui qui ?, d'où provient se sarcophage, serte ramené par les romains, mais son origine? et pourquoi, le laisser dans CETTE région, SE village, ??? beaucoup de question, je ne suis pas la seule a penser aux questions, il y en a, à poser, mais fort intéressant merci admin |
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Invité
| Sujet: Re: Le sarcophage d'arles sur tech Mer 15 Juil - 17:18:20 | |
| Bonjour,vraiment tres curieux cette histoire de sarcophage,c'est dommage que les scientifiques ont abandonnés le projet,car avec la technologie qu'il y a maintenant,on aurait peut etre des réponses |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Le sarcophage d'arles sur tech Mer 15 Juil - 17:49:34 | |
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| | | Invité
Invité
| Sujet: le sarcophage d'arles Mer 15 Juil - 21:35:13 | |
| oui ,cette histoire de sarcophage est bien mysterieuse et Comte a raison,si on pouvait le transporter dans un pays ou les gens manquent d'eau ce serait formidable. Mais quand à savoir ce qui se passerait? |
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Invité
| Sujet: Re: Le sarcophage d'arles sur tech Jeu 16 Juil - 14:01:50 | |
| Bien mystérieuse histoi que celle de ce sarcophage, je crois savoir que certaines pierres ont le pouvoir d'attirer l'humidité vers elles, serait le cas dudit sarcophage? :nocome: |
| | | Admin
Fondateur et Enquêteur
| Sujet: Re: Le sarcophage d'arles sur tech Jeu 16 Juil - 14:23:34 | |
| j'ai une hypothèse, cette pierre a peut etre les propriétés de la pierre de lave qui sont employées dans des aquariums ou autre, la pierre de lave est poreuse et absorbe l'humidité à vitesse grand V |
| | | Invité
Invité
| Sujet: le sarcophage d'arles sur tech Jeu 16 Juil - 23:51:12 | |
| je pense aussi que la pierre y est pour quelque chose ,j'ai été voir ce que cit nous à laissé pour lien,en effet les réponses qu'on y trouvent me paraissent sensées. :23: |
| | | Admin
Fondateur et Enquêteur
| Sujet: Re: Le sarcophage d'arles sur tech Ven 17 Juil - 0:30:44 | |
| Voici les notes du lien que " cit " à déposée
Sainte Tombe : Origine céleste de l'eau confirmée (Sarcophage d'Arles-sur-Tech. IV) Pr. Henri Broch
La confirmation…
1961-2001 : à 40 ans d'intervalle, les conclusions des deux seules (à ma connaissance) études scientifiques sur le mystère de la Sainte Tombe, le désormais célèbre sarcophage d'Arles-sur- Tech qui se remplit d'une eau "miraculeuse", convergent et nous donnent la solution de l'énigme. L'eau est bien… d'origine céleste. Le résultat principal de la publication datée de 1961 (cf. mes deux premiers articles de cette série) est confirmé par une étude qui vient d'être publiée [1] et qui porte essentiellement sur la détermination de la quantité d'eau produite par condensation à l'intérieur du sarcophage. Les auteurs de cette étude ont recueilli des données sur près de 3 ans de manière totalement passive, c'est-à-dire en n'intervenant pas sur le phénomène. Ils ont ainsi placé quatre thermocouples qui ont mesuré la température
a) de l'air externe, b) de l'eau dans le sarcophage, c) de la pierre à l'extérieur du sarcophage, et d) de la pierre à l'intérieur du sarcophage (pendant près de 7 mois), puis d') de l'air à l'intérieur du sarcophage.
H. Broch "Sarcophage d'Arles-sur-Tech. IV. Origine céleste de l'eau confirmée" - p. 2 - Etaient également mesurées - via deux stations externes situées à 200 et 250 m environ du sarcophage - la quantité de pluie, la température de l'air ambiant, l'humidité relative et la pression atmosphérique La conclusion des chercheurs est on ne peut plus limpide en de telles circonstances et éclaircit - et chiffre - les deux phénomènes intervenant dans le remplissage de la Sainte Tombe (le phénomène d'évaporation étant évidemment un facteur complémentaire "négatif") : infiltration de l'eau de pluie et condensation de la rosée.
Autant vous livrer les propos précis des auteurs. Je cite : "Il a été allégué, depuis au moins le 16ème siècle, qu'un sarcophage clos, situé dans la cour de l'abbaye d'Arles-sur-Tech (France), produit des centaines de litres par an. Plusieurs hypothèses ont été avancées pour expliquer ce mystère. Après environ 3 ans de collecte de données, on conclut que la production d'eau, qui se monte à environ 200 litres par an, provient d'un bilan entre eau de pluie, condensation de la rosée et évaporation. Des défauts dans la fermeture permettent l'échange avec l'atmosphère. La condensation est environ six fois plus importante que l'évaporation et intervient pour environ 10% de la production totale d'eau." (traduction de l'Abstract complet et gras par Henri Broch. Dans tout ce qui suit, les citations de Beysens et al. seront, de fait, les traductions par H.B. du texte d'origine de la publication)
De même, dans la conclusion de leur article : "… le phénomène de captation de l'eau dans le sarcophage d'Arles-sur-Tech peut être compris comme un équilibre entre l'eau de pluie qui s'infiltre entre le corps du sarcophage et le couvercle, la condensation de la rosée et son phénomène complémentaire l'évaporation. Une production totale d'eau d'environ 200 litres par an a été mesurée, avec une contribution de la rosée représentant environ 10% de la production totale, soit 20 litres par an." (gras de H.B.) Ces chercheurs semblent avoir montré que ce n'était pas, comme l'avaient écrit leurs prédécesseurs de 1961, la perméabilité du couvercle qu'il fallait faire intervenir principalement pour capter l'eau de pluie mais l'interstice entre couvercle et corps du sarcophage. J'ajoute le terme "principalement" car l'entrée d'eau directe était déjà explicitement présente dans l'article de 1961 (page 880 : "On peut également penser qu'un peu de poussière est entraîné par l'eau qui ruisselle sur le couvercle et pénètre entre couvercle et corps (phénomène de la 'goutte pendante'...)") mais apparemment considérée comme phénomène secondaire. En ce qui concerne l'analyse des données, Beysens et al. écrivent : "Nous avons d'abord essayé de corréler les précipitations d'eau de pluie (…) avec le taux de production d'eau dans la tombe" (gras de H.B.) et ils déduisent des valeurs obtenues "… il est clair qu'une forte corrélation existe entre ces deux quantités."
Sans vouloir entrer dans des détails techniques, il suffit de constater que les chercheurs peuvent, en synthèse de leurs mesures, écrire une équation de la forme y = ao.x + b, dans laquelle y [en fait dV/dt] représente le volume d'eau produit sur une certaine période de temps et x [en fait dr/dt] représente la hauteur de pluie mesurée sur cette même période de temps ; le coefficient ao représente un équivalent surface de captation d'eau et b [en fait de la forme ki.(Ts - Th) où ki est un coefficient d'échange - correspondant à la condensation ou l'évaporation suivant la valeur du signe des différences de températures - dépendant de la forme du condenseur et Ts et Th les H. Broch "Sarcophage d'Arles-sur-Tech. IV. Origine céleste de l'eau confirmée" - p. 3 - températures d'échange], si non nul et positif, peut être interprété comme la prédominance de la condensation sur l'évaporation .
En d'autres termes : Beysens et al. ont, comme leurs prédécesseurs en 1961, mis en relation directe la quantité d'eau apparaissant dans le sarcophage et la hauteur de pluie tombée et ont, de plus, mis en évidence la participation du facteur condensation. Une appréciation critique sur le travail publié en 1961… Beysens et al. doivent recevoir toutes les félicitations de leurs collègues pour le travail accompli. Cependant, ils portent dans leur publication une appréciation critique sur les travaux antérieurs publiés en 1961, appréciation que nous devons examiner de plus près. Beysens et al. écrivent dans leur introduction, en parlant des travaux des hydrologues publiés en 1961, "Ils concluaient, après avoir fait des expériences sur le couvercle de marbre, que ce couvercle était probablement perméablea, impliquant la migration de l'eau de pluie en 5 jours à travers le couvercle. Nous allons voir dans la suite [de l'article] que cette allégation n'est pas fondée". (p. 203)
Affirmation qu'ils justifient plus loin par :
"Les mesures de Pérard et Leborgne [2] ont été effectuées en avril 1961, une période relativement courte après le nettoyage du sarcophage en 1950. Les auteurs n'ont pas suspecté l'influence du volume mort Vo. Ce volume explique, à notre avis, les 5 jours de décalage des mesures de Pérard et Leborgne, ce qui est une beaucoup plus plausible raison que la perméabilité du marbre du couvercle et l'imperméabilité du marbre du corps du sarcophage qu'ils invoquent (nous pensons que le marbre peut être perméable sur une épaisseur de quelques millimètres suite au vieillissement inévitable, mais pas en son coeur)." (p. 205)
Or, en fait, Beysens et al. n'amènent nulle part la démonstration de ce qu'ils affirment péremptoirement. Au contraire même, les deux points de leur argumentation ci-dessus pour justifier leur affirmation (que la théorie de 1961 "n'est pas fondée") sont… plus que discutables. 1er point : volume "mort" et sarcophage vide… Le délai de 5 jours (entre pluie et variation du niveau d'eau dans le sarcophage) observé dans les mesures de 1961 serait dû selon Beysens et al. à un volume "mort" existant dans le sarcophage du fait de son inclinaison par rapport à l'horizontale. Lorsque le sarcophage se remplit (en commençant évidemment par ce "volume mort"), on ne peut lire le niveau d'eau puisque l'appareil de lecture n'est pas encore atteint et cela donne donc un décalage.
Or, bien que tout le monde soit d'accord sur la faible non-horizontalité du sarcophage et donc sur l'existence d'un volume mort, vouloir en tirer argument pour le décalage dans la lecture des niveaux présuppose nécessairement que le sarcophage soit vide au début des mesures. a Le terme porous (et porosity) utilisé par Beysens et al. dans leur article - terme impropre, comme nous l'a rappelé M. Bernard Balusseau, géologue - a été traduit plus correctement par perméable (et perméabilité) ici et dans les autres citations de ces auteurs. H. Broch "Sarcophage d'Arles-sur-Tech. IV. Origine céleste de l'eau confirmée" - p. 4 - Et cette présupposition de Beysens et al. est tout simplement… fausse. Le sarcophage n'était pas vide.
Le niveau d'eau était connu et parfaitement mesurable dès le début des expériences et cela ressort directement de la lecture de l'article de 1961. Dans les deux mois précédant la pluie, M. le curé a même fait plusieurs prélèvements d'eau et le niveau dans le sarcophage s'était en conséquence abaissé ; cela est écrit textuellement et G. Pérard explique même que cela prouvait que leur "système de mesure du niveau était valable quoique rudimentaire". Lorsque je dis que le sarcophage n'était pas vide au début des expériences de 1961, je ne parle pas de millilitres ou autres micro-quantités et l'information disponible - certes indirectement - est en fait largement suffisante pour le montrer. En effet, une simple petite règle de trois - en se servant de la photo montrant l'installation de mesure du niveau d'eau - sur les hauteurs de la réglette [3], de la cale (socle sur lequel est positionnée la réglette) et du sarcophage et en tenant compte d'une épaisseur de paroi de 8 à 10 cm, permet d'estimer, à l'aide de la première valeur relevée fournie, le volume initial d'eau contenu dans le sarcophage au début des mesures. Et cela nous donne… environ 120 litres d'eau ! Même si l'incertitude est large, nous avons - en hypothèse basse - une valeur qui atteint tout de même les 100 litres.
Pour un sarcophage, selon Beysens et al., vide, cela fait tout de même beaucoup ! 2ème point : perméabilité et imperméabilité... L'opinion de Beysens et al. selon laquelle le marbre ne peut pas être perméable en son coeur n'est étayée par aucune argumentation ni aucune expérience. Elle est même contradictoire avec l'expérience faite en 1961 qui a montré qu'un morceau de marbre de 4 cm d'épaisseur (provenant de "la seule carrière qui ait pu vraisemblablement fournir à l'époque le matériau dans lequel a été creusé le sarcophage") était traversé par l'eau en moins de deux jours (en fait sur 3 cm d'épaisseur, puisque "un trou borgne de 1 cm de diamètre et 0,5 cm de profondeur environ a été fait dans la face supérieure et, en regard, dans la face inférieure", p. 880 du "Rapport technique"). De plus, en 1961, des expériences montrant la perméabilité du marbre du couvercle du sarcophage ont été faites… directement sur ce couvercle ! En effet les expérimentateurs : - ont versé goutte à goutte de l'eau sur le couvercle et, ce, en différents endoits afin de discerner les zones poreuses, - ont disposé un anneau en matière plastique dans une zone déjà reconnue poreuse, anneau (fixé par du ruban adhésif) dans lequel ils ont versé de l'eau, - ont rempli dix fois de suite l'un des petits trous hémisphériques (de 1 à 2 mm de diamètre) du couvercle avec de l'eau et chaque fois le trou s'est vidé rapidement (environ 45 secondes).
Et toutes ces expériences sont rapportées explicitement dans l'article de 1961. En ce qui concerne la différence entre couvercle et corps du sarcophage, c'est-à-dire perméabilité et imperméabilité, l'article de 1961 avait déjà donné quelques hypothèses explicatives (dépôt de H. Broch "Sarcophage d'Arles-sur-Tech. IV. Origine céleste de l'eau confirmée" - p. 5 - particules, poussières, boue, obstruant les pores de la pierre dans le fond du sarcophage). L'auteur ajoutait même que "rien ne prouve, en fait, que le sarcophage soit vraiment imperméable" et nous parlait alors explicitement d'évaporation à travers la pierre. A titre d'explication complémentaire pour la conservation de l'eau dans le fond du sarcophage, je me permets de porter à la connaissance du lecteur un paramètre essentiel et, très souvent, passé pieusement sous silence : l'intervention… humaine ! Ainsi, "En 1848, l'eau venant à se perdre peu à peu par une petite fissure dans la partie inférieure de la tombe, on la souleva de 0,75 m pour permettre de boucher la fente facilement." [4] En résumé, l'affirmation de Beysens et al. concernant les travaux de 1961 est vraiment trop lapidaire et jette une ombre injustifiée sur les travaux de nos collègues d'il y a une quarantaine d'années.
Il n'est pas correct de vouloir mettre en balance des faits et des opinions surtout lorsque ces dernières ne sont pas soutenues par une démonstration ou une justification un peu plus forte que : "Il nous a semblé naturel d'en déduire que le sarcophage était vide" ou encore "Nous pensons que le marbre n'est pas perméable en son coeur"… Et dans le cas précis qui nous occupe ici, les deux points d'appui de l'opinion exprimée sont, comme je l'ai dit, plus que discutables. Un échange de courriers avec Daniel Beysens n'a pas amené d'argument de nature à modifier ce constat.
Pour conclure
Ces petites précisions étant données, il en demeure donc que le public dispose actuellement, avec la publication de ces travaux dans Atmospheric Research, d'un réel complément d'information bienvenu sur la fameuse Sainte Tombe qui se remplit donc d'une d'eau maintenant nonmystérieuse. Et cette claire confirmation de l'origine céleste de l'eau qui remplit le sarcophage d'Arles-sur- Tech devrait, à l'avenir, nous éviter les pitoyables errements de parapsychologues en mal de copie ou de sociétés de productions télévisuelles intellectuellement peu scrupuleuses dans leur quête d'audimat. Henri Broch |
| | | Invité
Invité
| Sujet: le sarchofge d'arles Ven 17 Juil - 0:59:17 | |
| Dans la vidéo il parle de cette eau miraculeuse.Est ce qu'après que des personnes en ai bu il se serait passe quelque chose.Il tire comme meme des litres d'eau de ce sarchophage Ils l'ont meme ouvert.Et il est prouvé qu'il n'est relié a rien qui puisse le remplir C'es tout de meme plus que bizarre cette histoire :?: |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Le sarcophage d'arles sur tech Ven 17 Juil - 2:48:02 | |
| on vend des pierres attirant l'humdité dans certains commerces, celles ci attirent l'humidité de la piece et nous donne une eau parfaitement potable, peut être est ce qui se passe avec ce sarcophage |
| | | Invité
Invité
| Sujet: le sarcophage d'arles sur tech Ven 17 Juil - 11:49:20 | |
| pour moi c'est un phénoméne naturel, c'est de l'eau de pluie toute simple,non traitée,as t_on prouvé que l'eau est miraculeuse,non,le sarcophage est une sorte de réservoir tout simplement et la pierre une sorte d'éponge,si le sarcophage se remplissait d'eau ,en pleine canicule aprés l'avoir vidé ,peut etre qu'on pourrait penser à un miracle. |
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| Sujet: Re: Le sarcophage d'arles sur tech | |
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